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jeudi 20 septembre 2018

Recours contre le projet centre-ville



Le projet du centre ville d’Atilly, portant sur 5673,88m2 d’habitation, a provoqué chez les villecresnois de nombreuses interrogations, voire des vraies inquiétudes. Pourtant le maire a affirmé qu’il s’agissait de “son projet” qu’il a mené de bout en bout.

Au moment où il s’apprête à signer le permis de construire de la S.C.C.V Villecresnes d’Atilly, (promoteurs COGEDIM et AKERA), du 73 rue du Lieutenant Dagorno, les élus de Villecresnes Avenir lui ont adressé en date du 12 septembre 2018 une lettre recommandée avec accusé de réception, reprenant point par point tous les éléments du dossier et les mises en garde nécessaires.

Ainsi, tant le maire que les Villecresnois, sont pleinement informés des enjeux en cours.


lundi 19 mars 2018

OPACITÉ et HYPOCRISIE

Lors de la réunion du conseil municipal du 15 février dernier, le représentant de Villecresnes Avenir, a demandé formellement au maire d'avoir accès à l'ensemble du dossier de consultation concernant le projet du centre-ville. Réponse du maire : “aucun souci”


Et pourtant !  Voici ce qui s'est passé ensuite :
  • Lundi 5 mars 2018 à 9h45, notre élu appelle le maire afin de lui communiquer des dates de disponibilité. Le maire confirme son accord et lui indique en informer immédiatement le Directeur du service Urbanisme. Le même jour ce dernier propose un rendez-vous fixé au 14 mars.
  • Le 8 mars , monsieur Jacques LOCHON, adjoint en charge de l'urbanisme, adresse un mail à monsieur CULLIER de LABADIE pour reporter le rendez-vous  à une date ultérieure.
  • Le 13 mars,  le directeur des ressources monsieur BASSOULET indique à notre élu avoir reçu instruction de messieurs DEBARRY et LOCHON  de renvoyer la consultation du dossier au retour du maire.
Face à cette volonté manifeste de cacher le dossier de consultation ayant abouti à la désignation de COGEDIM comme opérateur pour ce projet immobilier, les élus de Villecresnes Avenir n'ont eu d'autre choix que d'introduire une action en référé auprès du juge administratif


En attendant il est permis de se poser plusieurs questions :
  • Pourquoi est-on revenu sur l'accord donné en séance et au téléphone ? Le maire joue-t-il les hypocrites ?
  • Que vient faire monsieur Debarry dans cette affaire ? Se voit-il déjà calife à la place du calife ? 
  • Quel est le rôle exact de monsieur Lochon toujours incapable d'expliquer quoi que ce soit ?
  • Y a-t-il eu une vraie consultation ? Si oui a-t-elle été réalisée dans les formes adéquates ? 
  • De quoi le maire et ses colistiers ont-ils peur ? Existe-t-il des accords cachés ?
Déjà en 2015 le maire avait refusé obstinément de nous communiquer l'audit des finances auquel il faisait dire ce qui l'arrangeait. Il aura fallu que le juge administratif le contraigne à publier ce rapport pour que l'on s'aperçoive que tout était manipulé. 

De la même manière, la modification du PLU qui, aujourd'hui, rend possible l'opération immobilière du centre-ville, n'a fait l'objet que d'une information passive au cours des mois de juillet et août 2017 et le projet lui-même n'a jamais été présenté à la population.

Villecresnes Avenir ne cédera pas face à ces élus dissimulateurs


lundi 5 mars 2018

Compte rendu de la réunion organisée par le maire et la COGEDIM


Jeudi 1er mars, le maire et la COGEDIM avaient organisé une réunion à la salle cheminée du Bois d'Auteuil pour présenter le projet immobilier dit du centre-ville. Des élus et des représentants de Villecresnes Avenir étaient présents. Ils ont préparé ce compte-rendu pour informer les Villecresnois.


La réunion s’est ouverte devant une assemblée de 70 à 80 personnes.
Le Maire a, tout d’abord, rappelé que cette réunion était une réunion de lancement de la commercialisation réalisée par la COGEDIM et AKERA son partenaire.
Ensuite la COGEDIM a présenté son équipe et les commerciaux dans la salle. Elle a rappelé la génèse du projet et s’est félicité d’avoir gagné la consultation.

Après une rapide présentation du projet, des questions ont fusé dans la salle sur les risques de saturation du centre-ville déjà très encombré.
Certains participants ont dénoncé des choix étonnants de la COGEDIM pour un immeuble de ce standing, à savoir, une seule place de parking pour les T2 et T2 avec alcôve, un chauffage collectif et l’absence de cave ou de box. Au total ce sont 118 places de parking privées pour 79 logements.
La scolarité reste un problème critique. Un parent s’est ému de voir la publicité de la plaquette COGEDIM proposant une école à 5mn alors que ses enfants sont scolarisés au Bois d’Auteuil. Le maire est resté flou sur les projets futurs et n’a cité que les ouvertures de classes déjà décidées afin de régler les problèmes actuels de surnombre. Rien n’est envisagé à ce jour en matière d’infrastructure scolaire et associative pour prendre en compte les besoins futurs.
Le problème des parkings publics a été soulevé par plusieurs participants et suscite de nombreuses interrogations et inquiétudes.
Pourquoi une réduction du nombre de places privées à une place pour les T2 qui représentent 40% des logements prévus ? La modification du PLU est édifiante puisqu’elle créé une dérogation uniquement pour cet immeuble.
Aucune place privée n’est prévue pour les 600m² de locaux commerciaux. La modification du PLU sur ce point est imprécise et demande à être explicitée et interprétée.
Les livraisons apparemment devront se faire en passant par l’accès pompier.
La croissance du nombre de parkings publics oscille entre 30 et 50 places. Il s’agit de 72 places créées en sous-sol et 17 places supplémentaires en aérien à la localisation mal définie face à une quarantaine de places existantes et supprimées par la construction. A noter les coûts d’exploitation et de maintenance à prévoir pour le futur parking public en sous-sol.
Il est Indiqué que les futurs occupants des T1 et T2 pourront se garer sur les places publiques sans précision des conditions de stationnement.
Le Maire ne sait pas nous dire si les parkings publics seront payants ou gratuits.
Le maire et la COGEDIM ont été questionnés sur les risques hydrogéologiques et les conséquences sur l’environnement et les constructions périphériques. Les réponses n’ont pas convaincu par leurs imprécisions. A ce jour, il, n’est pas prévu de travaux spécifiques prenant en compte cette situation.
Pas de réponse sur les nuisances occasionnées par le restaurant (bruit des fumeurs le soir et odeur de cuisine)
Nous avons appris en réunion que l’aménagement de la place de 1200m² et du parking public en sous-sol seront payés par le contribuable Villecresnois. La mairie devra également prendre en charge la création d’un ascenseur PMR pour l’accès au sous-sol.
En fin de réunion un habitant a fait remarquer qu’il n’y avait pas eu de réunion publique sur ce projet et que plusieurs questions destinées à la mairie restaient sans réponse notamment sur le budget global de l’opération pour la commune. Le Maire passablement énervé a confondu consultation obligatoire pour la modification du PLU et réunion publique sur le projet du centre-ville. Il a refusé catégoriquement toutes réunions d’information.
Sur l’aspect financier la seule chose que nous pouvons estimer, c’est le chiffre d’affaires pour la COGEDIM et son partenaire qui devrait s’élever à 20 millions d’euros. Pour les autres éléments financiers nous sommes face à une opacité municipale avec un refus ferme de communiquer vers le contribuable qui devra pourtant payer l’addition.

lundi 26 février 2018

Conseil municipal : débat sur le projet du centre-ville

Au cours de la réunion du conseil municipal du 15 février, le maire a mis au vote un avenant à l'accord cadre partenarial pour la réalisation de l'opération urbaine du centre-ville.

Cette proposition a donné lieu à un débat, résumé dans la vidéo ci-dessous


On notera l'argumentation hésitante du maire, notamment lorsqu'il s'agit d'expliquer la problématique des parkings. Il n'en demeure pas moins qu'il confirme de fait une forte reculade par rapport au projet initial. 

Les changements apportés au projet, sont dus au combat mené par le groupe Villecresnes Avenir et par de très nombreux Villecresnois. Que tous en soient chaleureusement remerciés.  (Lire à ce propos notre dernière newsletter en cliquant ici)

Les élus de Villecresnes Avenir ont évidemment voté CONTRE ce nouvel avenant car le combat continue et d'autres garanties doivent être obtenues du maire et de la COGEDIM. 

C'est pourquoi nous invitons tous ceux que ce projet inquiète encore à venir poser leurs questions à la réunion d'information qui se tiendra :

Jeudi 1er mars à 19 heures à la salle cheminée du Bois d'Auteuil






lundi 12 février 2018

Actualité

Voici trois publications qui ont trait à la vie municipale villecresnoise

1) Un article du Parisien de ce jour qui pose la question du recul du maire sur le projet du .centre-ville. Le recul est réel et les nombreuses signatures recueillies à la lettre ouverte ont été déterminantes.
Cliquer sur l'image pour lire
2) La liste des questions qui seront posées au maire par les élus de notre Groupe pour qu'il y soit répondu lors de la réunion du conseil municipal du jeudi 15 février.
Cliquer pour lire l'ensemble des questions
3) Le coup de gueule d'un acteur engagé dans la vie des jumelages à la suite de la tentative du maire d'en "récupérer” la réussite alors que son implication est proche de zéro. (Cliquer ici pour lire)

dimanche 7 janvier 2018

Merci aux habitants de Villecresnes qui ont signé la lettre au maire

Grâce à vous, le maire vient de reculer sur son projet de construction d’un immeuble en centre-ville !

Après des consultations en catimini avec des promoteurs immobiliers, le maire de Villecresnes a lancé durant l’été, en pleines vacances, une procédure de modification simplifiée du plan d’urbanisme de Villecresnes, soumise à l’approbation du Territoire, Grand Paris Sud-Est Avenir (votée le 13 décembre 2017).

A la lumière des informations disponibles en mairie et des différentes déclarations du maire, soit à Villecresnes, soit à la presse (Le Parisien du 31/8/17 et 94 Citoyens des 31/8 et 5/12/17), une lettre ouverte à monsieur Gérard Guille, maire de Villecresnes et aux élu(e)s, a recueilli en 10 jours à peine, avant les fêtes de fin d’année plus de 500 signatures.

Il semble aujourd’hui que devant cette mobilisation de la population, le maire se soit vu contraint de reculer :
  • L’immeuble aurait un étage de moins, la création architecturale à son sommet serait supprimée,
  • Il y aurait moins de 80 logements en tout,
  • Le parking public comprendrait environ 70 places, mais sur un seul niveau. Rappelons qu’il existe actuellement à cet endroit 41 places en surface, ce qui ne fournirait que 29 places nouvelles de stationnement, et sûrement payantes, à rapprocher avec l’augmentation de la population !

Face aux difficultés rencontrées en centre-ville, est-ce bien un projet à la hauteur des enjeux réels ?

Nous ne sommes qu’à la fin de la première étape du combat pour le centre-ville de Villecresnes. Seule la vigilance de tous a permis ce premier résultat. Il nous faut rester très vigilants pour la suite.

Nous attendons les explications, sans doute prochaines, du maire, elles sont urgentes. Alors que la demande de permis de construire n’est pas déposée, ni le déclassement du terrain voté, la COGEDIM dès le 3 décembre 2017, faisait déjà figurer sur son site web la pré-commercialisation de cet immeuble (livraison fin 2020).

Le parking public sera-t-il payant alors que nombreuses sont les municipalités qui choisissent la gratuité des parkings en centre-ville ?
Quelles seront les réponses données aux problèmes de stationnement, aux difficultés des commerces implantés dans la ville, au nombre de places disponibles dans les écoles, aux demandes d’accès aux soins etc. ?
Y a-t-il un plan global de réhabilitation du centre-ville ?

Comme depuis le début, nous vous tiendrons informés des évolutions.

samedi 9 décembre 2017

Une opposition citoyenne et argumentée


Aujourd'hui l'opposition lance une pétition contre ce projet...(mais) le but de la pétition de l'opposition est ailleurs. Il est purement politique....” (Gérard Guille in tribune de la majorité- mag de décembre) 

Si monsieur Guille donnait aux mots qu'il utilise leur sens véritable plutôt que d'étaler son obsession récurrente pour son prédécesseur, nous pourrions souscrire à ce qu'il affirme.
Oui l'opposition a lancé une pétition et il s'agit bien d'un acte politique au sens noble du terme (qui a rapport aux affaires publiques ; qui concerne les citoyens..)

Beaucoup des signatures qui nous ont déjà été adressées sont accompagnées de commentaires qui permettent de cerner précisément ce que veulent nos concitoyens. (cliquer ici pour en lire quelques-unes) :
  1. Une concertation avec les habitants avant toute décision
  2. Le refus d'un aménagement qui ne serait pas en harmonie avec le centre-ville actuel 
  3. Le rejet du principe même de parking payant
  4. Le désir de voir les risques hydrologiques pris en compte.
Pour nous, il n'y avait pas de meilleure réponse que de donner la parole à tous les Villecresnois en colère qui se mobilisent.

Le maire et ses colistiers puisent habituellement leur inspiration dans la lecture de nos publications. Même s'ils semblent avoir déjà entamé une marche arrière discrète, nous ne saurions trop leur conseiller de lire ces opinions dans leur intégralité, de reprendre le projet au commencement et surtout de ne rien décider sans une vaste concertation. Voilà qui serait politique et démocratique !



mardi 5 décembre 2017

Bataille du centre-ville : le point au 5 décembre

Voici l'article du Le Parisien 94 - Val de Marne de ce jour (5 décembre) à propos du projet immobilier aberrant projeté par le maire dans le centre-ville. 
Cliquer pour agrandir
Nous y joignons la publicité qui en est déjà en place sur le site de la COGEDIM, avec l'accord du maire, alors : 
  • Que la modification du PLU n'a pas été votée
  • Que le conseil municipal n'a pas été consulté
  • Que le projet n'a pas été présenté aux Villecresnois
  • Que ce constructeur a été choisi sans aucun appel d'offres préalable et transparent
  • Qu'aucun permis n'a été déposé, 
  • Que les Architectes des Bâtiments de France (services de l'Etat) ne se sont pas prononcés

Cliquer pour agrandir

Dans quelles mains Gérard GUILLE s'est-il placé ?
Qu'est-ce que tout cela cache ?

vendredi 1 décembre 2017

Les élus de Villecresnes Avenir lancent la bataille du centre-ville !

Le maire et son équipe municipale, ont mis sur pied en catimini durant l’été une opération immobilière qui concerne le terrain de l’école d’Atilly, le parking de la bibliothèque et la place Michèle Perrotin. Cette opération comprend :
  • Un immeuble de 90 à 95 logements, dont la hauteur serait de près de 17 mètres au niveau le plus haut soit 5 étages.
  • Un parking réservé aux habitants de l’ensemble immobilier et un parking public payant sur deux niveaux.
Au cours de la réunion du conseil municipal qui s'est tenue le 20 novembre dernier, René-Jean  Cullier de Labadie, au nom des élus du groupe Villecresnes Avenir a interpellé le maire sur les nombreuses anomalies constatées dans sa démarche. (voir la vidéo ci-dessous)

  • Le projet repose sur une modification du PLU qui n'a pas été votée par le territoire, et qui n'a fait l'objet d'aucune présentation, ni aux élus, ni aux habitants.
  • Il n'y a eu aucun appel d'offres et pas d'étude d'impacts
  • Les risques hydrologiques pour les riverains sont très importants  
  • L'empressement à réaliser cette opération est mystérieuse comme en témoigne l'annonce d'une pré-commercialisation rapide 

Ce projet menace gravement l’équilibre écologique et architectural de tout le centre de notre ville.

Sourd aux arguments de l'opposition, le maire a néanmoins fait voter par son conseil municipal l’autorisation de démolir l’école d’Atilly. Les choses s’accélèrent donc et si nous ne réagissons pas, le centre-ville de Villecresnes sera livré aux promoteurs, en l’occurrence la COGEDIM.

Il n’est pas encore trop tard pour agir et empêcher un projet qui impacterait gravement et pour longtemps notre centre-ville.

Voici une simulation réalisée à partir du bâtiment d'Atilly pour vous permettre de vous rendre compte de la hauteur de l'immeuble prévu par le maire.


Cliquer pour agrandir
Les élus de Villecresnes Avenir vous appellent à mener avec eux la bataille du centre-ville en signant, une “lettre Ouverte au maire de Villecresnes” (cliquer ici pour lire) afin qu’il retire son projet.


pour signer la pétition contre le projet centre-ville / centre-Guille de Villecresnes : http://www.villecresnes.info




mardi 9 mai 2017

Réunion du conseil municipal du 17 avril 2017 ( 1ère partie)

Plusieurs sujets étaient à l'ordre du jour de la réunion du conseil municipal qui s'est tenue le 18 avril dernier. En voici des extraits vidéo.

Le conseil devait approuver le compte administratif 2016, c'est à dire donner quitus à la municipalité de sa gestion de l'exercice 2016. Les élus de Villecresnes Avenir ont fait plusieurs observations quant à la gestion du maire et de son adjoint aux finances :
  1. L’analyse des chiffres démontre une double manipulation consistant, lors de la présentation du budget primitif (début 2016), à sous-estimer les recettes de 480000 € et à surestimer les dépenses de 810000 €. Cela revient à dissimuler près de 1,3 million d’€ au total. Il s'agissait, sans aucun doute, d'une manipulation destinée à justifier la nécessité d’augmenter les impôts.  
  2. Entre 2013 et 2017 la part des impôts directs  dans le total des recettes est passé de 50% à 60% soit une hausse de 20%. Il existe en effet une insuffisance manifeste de recherche de subventions ce qui revient à puiser davantage dans la poche des Villecresnois. L'absence de subvention pour la construction du groupe scolaire illustre parfaitement ce fait. Cela aurait pu rapporter 1 millon d'€ à la commune. Mais la municipalité ne s'est pas bougée.
  3. Un glissement régulier des dépenses courantes de fonctionnement et de la masse salariale sont observées sans que par ailleurs des services nouveaux soient mis en place.
  4. Il existe une forte baisse des dépenses d'entretien de la voirie (45000 € prévus, 8000 € réalisés) ce qui constitue un SCANDALE au vu de l'état de nos rues. 
  5. Les frais de contentieux  se montent à près de 23000 €, ce qui est énorme. Se complaire dans l'illégalité à un prix.
  6. Les dépenses de festivités déjà réduites au budget, sont en retrait supplémentaire de 10%. 
  7. Une “économie” de 11000 € a été opérée sur le poste Transport quand, dans le même temps, on refuse aux familles la prise en charge complète du transport des enfants à Mélanie Bonis.

Tous ces éléments ont naturellement conduit les élus de Villecresnes Avenir a s'opposer à l'approbation du CA 2016.

Le conseil devait également se prononcer pour ou contre une modification du Plan Local de l'Urbanisme, destiné à augmenter de 20 % la constructibilité dans le centre ville.


Le maire a décidé de ne pas soumettre cette modification à enquête publique. Certes la loi lui donne la possibilité d'échapper à cette procédure de consultation des habitants, mais les élus de notre groupe considèrent que le fait de cacher cette décision d'accroître la densité des constructions du centre ville et de refuser de présenter les projets, constitue une attitude curieuse de la part d'un homme qui s'est fait élire en menant campagne contre le bétonnage.

dimanche 23 avril 2017

Une année d'enfumage...

Il y a un peu plus d'un an nous nous faisions l'écho de graves irrégularités dans l'autorisation accordée par messieurs Guille et Lochon à l'opérateur FREE pour la construction d'un nouveau mât téléphonique, au plus proche d'une zone habitée et sans la moindre concertation. Vous pourrez relire les faits en cliquant sur le lien ci-dessous


Le 24 mars Le Parisien relayait à son tour le problème rencontré par les habitants de ce quartier de Villecresnes.

Cliquer pour relire l'article
Au cours des rencontres entre le maire, son adjoint et les riverains, plusieurs affirmations ont été faites, des engagements ont été pris et confirmés dans la presse ainsi que dans le magazine municipal.
  1. Le 12 juillet 2016, le maire et son adjoint Lochon s'étaient engagés à organiser une réunion avec FREE afin de vérifier s'il était possible de faire supporter de nouveaux équipements techniques au mât existant ce qui aurait permis d'éviter la construction du second pylône  Cette promesse est restée lettre morte, mais  entre temps du matériel supplémentaire a été ajouté sur le premier pylône en faisant croire aux riverains qu'il s'agissait d'une opération de maintenance. Tout ceci sans information, sans autorisation, sans contrôle des puissances, etc, C'est donc la double peine pour les riverains.
  2. Le maire et son adjoint Lochon s'étaient également engagés à “corriger le tir et négocier avec FREE pour demander un habillage du pylône afin de maquiller sa présence dans les cieux villecresnois. Apres un silence assourdissant d'un an et des relances des riverains ce qui est proposé aujourd'hui consiste à peindre le mât et à consulter les riverains sur la couleur de la peinture. 
Dans le Magazine municipal de ce mois-ci la municipalité parle de développement durable mais le maire et ses adjoints savent ils seulement de quoi il parlent? L'installation de ces pylônes successifs et les méthodes d'attribution des autorisations administratives sont en totale opposition avec les principes du développement durable qui prônent la prise en compte des parties prenantes dans les décisions... 

La colère des riverains ne faiblit pas:  Nous sommes dans une inacceptable indigence. Rien n'a bougé. Pire en terme d'habillage, le maire nous propose un nuancier de peinture pour tenter de dissimuler ce mastodonte de 34 mètres de hauteur dont l'ombre projetée génère des masques solaires chez tous les riverains. Nous sommes toujours en attente de jugement auprès du tribunal administratif dont nous attendons la remise en cause de cette décision.”


mardi 5 avril 2016

La criante actualité d'un article que nous avons publié il y a 2 ans jour pour jour


Relire cet article du 4 avril 2014

Des points repères pour éviter les mensonges 

Il est fréquent qu’un nouvel élu, ici un nouveau maire, cherche à imputer ses erreurs et son incapacité à tenir ses engagements à la situation que lui aurait laissée son prédécesseur. Le risque d’une telle attitude est encore plus fort à Villecresnes, compte tenu de l’impréparation de la nouvelle équipe.
Alors mettons dès maintenant par écrit quelques réalités auxquelles nous pourrons nous référer pour juger le chemin parcouru  par la nouvelle équipe
Réalité n°1 : La politique fiscale.
Nous n’avons pas augmenté les taux communaux d’imposition au cours de notre mandature. Seule la réforme de la taxe professionnelle voulue par le Gouvernement FILLON, a conduit à la fusion des taux communaux et départementaux, sans que la somme des deux n’en soit affectée.
Réalité n°2 : La situation financière de la ville.
L’épargne de gestion, c’est-à-dire la différence entre les recettes réelles courantes et les dépenses réelles a été de 9,67 millions € soit 1,6 million € par an.
La dette qui était de 3,9 millions € le 31 décembre 2007 est de 5,15 millions € au 31 décembre 2013, soit une augmentation de 1,25 million €. Cette dette est donc de 523 € par habitant alors que la moyenne de la dette des villes de notre taille est de 1100 € par habitant.
Dans le même temps nous avons réalisé 22,4 millions € d’investissement pour amener notre ville au niveau d’équipements nécessaires.
Tous ces chiffres sont vérifiables en consultant les comptes administratifs et les comptes de gestion avalisés par les services de l’Etat et le conseil municipal. Ces documents sont publics.
Réalité n° 3 : Le bétonnage 
Quel avenir pour le Bois d'Auteuil ? On fait “à peu près” ce qui était prévu ou on arrête tout ?
Va-t-on ressortir le projet de l'Allée Royale ?
GUILLE a mené toute sa campagne contre le Bois d’Auteuil, et parmi les signataires de sa pétition figurent les propriétaires des 6,5 hectares de terrain de l’Allée Royale sur lesquels, en 2006, Messieurs Gravelle et son adjoint à l’urbanisme voulaient implanter un nouveau quartier. Qu’est-ce qui peut conduire des propriétaires fonciers à signer une pétition contre un projet immobilier si ce n’est que leurs propres intérêts ont été contrariés par un autre projet.
Bois d’Auteuil ?  Allée Royale ? Y a-t-il eu un lien de causalité ?
Le discours sur le bétonnage masquait peut-être d’autres enjeux. A voir la joie de certains, dimanche lors de la proclamation des résultats, et pour connaitre certains liens d’amitié, on peut le penser.
Les habitants de l'Allée Royale, de la rue de l'Etoile et de la rue d'Yerres qui ont signé la pétition tremplin de Guille auront intérêt à se montrer vigilants 



jeudi 24 mars 2016

Le Parisien confirme le scandale

Dans un article publié aujourd'hui, Le Parisien confirme le comportement scandaleux du maire à propos de l'autorisation donnée à FREE d'implanter un second mât et de nouvelles antennes téléphoniques dans le secteur des ateliers de Beaumont.
  • Refus de recevoir et d'entendre la protestation des riverains
  • Signature d'une convention non autorisée par le conseil municipal
  • Mensonges dans ses réponses au conseil municipal 
Cliquez pour agrandir
Ce comportement est indigne d'un élu et plus encore d'un maire. Il démontre l'étendue des lacunes de monsieur Guille en matière de démocratie, de capacité au dialogue, et de respect des institutions.

Dans ces conditions les élus de Villecresnes Avenir ont fait parvenir un courrier au maire pour lui demander la réinscription de la délibération concernant la convention FREE à l'ordre du jour d'un prochain conseil.

Cliquez pour agrandir

dimanche 6 décembre 2015

ALERTE BÉTONNAGE

Mercredi 9 décembre, le maire proposera au vote du conseil municipal le  projet de modification du PLU qui a été soumis à enquête publique entre le 15 septembre et le 16 octobre 2015.

Mais de manière unilatérale et après la clôture de l'enquête, c'est à dire après la période où les Villecresnois pouvaient exprimer leur avis, Gérard Guille, le maire, vient de multiplier par 5 la constructibilité dans le secteur de l'Allée Royale, pour la mettre au niveau du centre-ville.

Nous connaissons quelques propriétaires qui se frottent les mains. 

Ainsi celui qui criait au bétonnage, et qui a déjà sous le coude 100 logements de plus que son prédécesseur s'apprête en à ajouter plusieurs centaines d'autres dans ce quartier que nous avions , nous, protégé par un sursis à statuer et une convention de veille foncière.

Il a trompé sciemment les Villecresnois. Nous les informons 


mercredi 14 octobre 2015

Notre analyse du projet de modification du PLU


Un projet de modification du Plan Local d'Urbanisme est actuellement soumis à enquête publique. Celle-ci prendra fin le 16 octobre.

Nous avons procédé à une lecture attentive du projet et nous en retenons qu'il démontre la volonté politique de la municipalité actuelle de bloquer toute forme de développement de Villecresnes. En effet les modifications proposées ont pour objectif manifeste :

1) De verrouiller le développement des constructions par un certain nombre de contraintes réglementaires  nouvelles  l'habitat notamment en zone UD  par :
 -  Le contrôle des emprises au sol modulées selon les secteursLe renforcement des marges de recul
 -  La réduction des hauteurs
  -     La gestion du stationnement (mode de calcul, intégration dans le volume de la construction, prise en compte de l’impact visuel) 
 -  La prévention envers la création de front bâti sous forme de maisons de villes accolées

2) De limiter les effets induits par la loi ALUR (suppression des COS et des surfaces minimum des terrains pour construire, …).

samedi 23 mai 2015

Compte-rendu de la réunion du conseil municipal du 13 mai : deuxième partie

Nous poursuivons la publication de notre compte-rendu de la réunion du conseil municipal qui s'est tenue le mercredi 13 mai, avec la délibération concernant l'Allée Royale.



Un peu d'histoire pour commencer.

En 2006, la municipalité, poussée par les propriétaires des terrains, souhaite urbaniser le secteur de dit de l' Allée Royale. L'opération porte sur une emprise de 6,3 hectares après déduction de 2 opérations réalisées depuis, les résidences “Jardin des roses” et “Les amis de l'atelier”. A l'époque l'objectif était d'y construire 300 logements (170 collectifs et 130 pavillons) dont 25% de logements sociaux. Le prix attendu par les propriétaires, entre 200 et 250 €/m2, (des promesses d'achat avaient été signées entre certains d'entre eux et Bouygues Immobilier) aurait probablement conduit à une densité plus forte. Il suffit d'avoir en tête que les terrains du Bois d'Auteuil ont été acquis à seulement 46 €/m2. 
Cliquez pour agrandir l'image

C'est sur ce sujet, qu'une scission s'est opérée au sein de l'équipe du maire de l'époque. Certains élus considéraient qu'il fallait privilégier l'urbanisation de la friche industrielle de La Poste, moins coûteuse et donc davantage à même de permettre la réalisation d'un projet d'intérêt général (un site sportif et un centre de loisirs existaient déjà sur place).

Après l'élection, la municipalité a souhaité écarter les promoteurs de ce secteur en confiant à l'EPFIF une mission de veille foncière, dont la mise en oeuvre ne pouvait être activée que par décision du conseil municipal.

Revenons maintenant à la réunion du conseil du 13 mai.

Après que le maire ait lu la délibération, le groupe Villecresnes Avenir s'est fermement opposé au vote de cette délibération par le conseil municipal. Voici la vidéo du débat :


Malgré le vote négatif de l'opposition, le conseil municipal a autorisé le maire, par ailleurs ami personnel d'un des propriétaires, a faire disparaître cette clause de protection. 
La vente des terrains peut désormais reprendre en toute tranquillité.

Celui qui s'opposait au bétonnage du Bois d'Auteuil, rend possible le bétonnage de l'Allée Royale.





lundi 18 mai 2015

Compte-rendu de la réunion du conseil municipal du 13 mai : première partie

Nous entamons aujourd'hui la publication de notre compte-rendu de la réunion du conseil municipal qui s'est tenue le mercredi 13 mai. 

La première partie est consacrée au Bois d'Auteuil puisqu'une délibération, concernant la future zone d'activités figurait à l'ordre du jour.

Ce projet, qui entre maintenant dans sa phase de réalisation, aura fait couler beaucoup d'encre, véhiculé beaucoup de fantasmes, et donné lieu à beaucoup de promesses de la part de la majorité actuelle et dont on peut dire qu'elles ne seront pas toutes tenues. Mais l'objectif du moment n'était pas de débattre honnêtement, juste de faire peur pour gagner. De ce point de vue c'est incontestablement réussi.

Alors quel bilan (presque) final pouvons-nous faire du projet du Bois d'Auteuil ?

1) Du point de vue du nombre de logements. Voici l'explication fournie par le maire 


Pour une fois nous sommes totalement d'accord avec lui quant aux chiffres évoqués ici. L'écart entre notre projet et celui qui sera réalisé par Mr GUILLE est de 24 logements. On pourrait dire aussi qu'il n'est que de 24 logements sur les 400 prévus. C'est peu en effet, eu égard à tout ce qui a pu être dit, écrit, promis. Rappelez-vous :
Cliquer sur l'image
2) Du point de vue du bétonnage. Bétonner c'est recouvrir de béton. Là aussi les chiffres sont imparables et permettent un bilan sans équivoque puisque le nombre total de mètres carrés construits (logements, groupe scolaire, zone d'activités, logements inter-service pompes) s'établit à :
  • 45836 M2 dans le projet initial
  • 45903 M2 dans le projet réalisé par Mr GUILLE

Encore une accusation qui se révèle sans fondement, proférée uniquement dans le dessein de se faire élire.

3) Du point de vue des équipements publics.
Contentons-nous simplement de constater, qu'à de très petites modifications près, le projet sur lequel travaille la nouvelle équipe est celui que nous avions préparé. Alors pourquoi avoir perdu une année ?

4) Du point de vue de la zone d'activités et de la route du développement durable c'est l'échec pour Messieurs Guille et Fossoyeux.

Voici la position de de notre groupe exprimée par Didier GIARD.


Résumons

  1. La compétence développement économique appartient à la communauté de communes. C'est donc elle qui aurait du acquérir les terrains si ceux-ci étaient vraiment destinés à l'activité économique.
  2. Faire acheter les terrains par la CCPB aurait permis d'économiser 230000 € de dépenses au budget communal
  3. Dans notre projet, la zone d'activités représentait près de 5 hectares et nous avions pour cela entamé des négociations avec le propriétaire d'un terrain jouxtant l'écoquartier. Cette zone est réduite aujourd'hui à moins de 2 hectares ce qui est insuffisant pour attirer des entreprises créatrices d'emplois.
  4. Sans véritable zone d'activités et sans un nombre suffisant d'entreprises, il n'y aura pas de route du développement durable. 

Conclusion

L'écoquartier du Bois d'Auteuil est un projet auquel nous croyons depuis longtemps, sur lequel nous avons beaucoup travaillé et beaucoup concerté. 
Nous n'avons pas peur de le dire : c'est notre projet. 
C'est pourquoi, tout en regrettant qu'il soit amputé de son importante composante  économique, nous ne pouvons que nous réjouir que le maire actuel en ait assuré la réalisation.

Qu'il ait été contraint ou convaincu, n'est pas notre problème.




vendredi 8 mai 2015

Conseil municipal du 13 mai : revoilà le projet de l'ALLÉE ROYALE



Une réunion du conseil municipal se tiendra mercredi 13 mai à 20h30.

Parmi les points inscrits à l'ordre du jour, deux sont essentiels :

1er point : la suppression, dans la convention signée avec l'EPF, d'une disposition qui protégeait la ville d'un projet immobilier non souhaité.

Objectif : ressusciter le projet de l'Allée Royale

Ainsi, tout juste un an après son élection, et sans la moindre gêne, le maire, pourtant champion déclaré de l’anti-bétonnage, (voir sa pétition et son programme !) fait sauter la clause qui empêchait ses amis les propriétaires d’urbaniser le secteur. Belle récompense pour ceux qui habitent le secteur et qui ont voté pour lui ! 

Cliquer pour lire la délibération proposée

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2ème point : l'achat de terrains destinés à la future zone d’activités du Bois d’Auteuil, sur un périmètre réduit à la portion congrue, par celui qui, il n’y a pas si longtemps, réclamait pourtant plus de création d’emplois sur notre territoire. 

Par ailleurs à l'occasion de ce conseil, nous avons obtenu communication du document de programmation signé par le maire et les constructeurs du Bois d'Auteuil. Vous pourrez constater en cliquant sur les 2 photos ci-dessous, que la réalité est bien différente de ce que Monsieur le maire avait annoncé lors de la réunion du conseil municipal de septembre dernier, tant pour le nombre de logements sociaux, (117 au lieu de 100) que pour le total (374 au lieu de 347). Nous sommes pratiquement aux chiffres initiaux. Oubliée la pétition !!

Programmation annoncée
Programmation signée
Enfin voici les questions soumises au maire par les élus de Villecresnes Avenir pour cette réunion . Cliquer ici.