mercredi 26 octobre 2016

Suite du compte-rendu VIDEO de la réunion du conseil municipal du 3 octobre


Nous publions aujourd'hui les réponses du maire à nos questions orales portant sur la mise en œuvre, à Villecresnes, des mesures de sécurité liées au plan Vigipirate. 



Cette vidéo montre 
  • Un maire qui lit soigneusement un texte qu'un autre lui a probablement préparé. Si la réponse était sincère, elle aurait l'air plus naturelle.
  • Un maire incohérent qui commence par nier tout problème, avant de reconnaître avoir reçu des remarques émanant de parents d'élèves sur certains manquements. 
  • Un maire qui cherche à masquer la réalité par une colère surfaite.
  • Un maire qui au final n'hésite pas à rejeter la responsabilité des défaillances constatées sur l'Education Nationale.
Pour finir le maire accuse les élus de notre groupe de s'appuyer sur des témoignages anonymes, alors qu'il sait parfaitement que les personnes qui nous contactent le font de manière ouverte.

C'est nous qui, compte-tenu de l'esprit mesquin qui anime le maire et son équipe, estimons devoir protéger nos sources. 

dimanche 23 octobre 2016

Compte-rendu VIDEO de la réunion du conseil municipal du 3 octobre

La réunion du conseil municipal qui s'est tenue le 3 octobre dernier a été, comme jamais, marquée du sceau de l'impréparation et de la méconnaissance des dossiers.


Tout commence avec le compte-rendu de la séance du 30 mai, rédigé seulement en octobre, et largement édulcoré pour masquer les déclarations fantaisistes de l'adjoint au finances.

Didier Giard dénonce la manœuvre et exige que le document, que le groupe Villecresnes Avenir ne signera pas en l'état, soit corrigé.


Un conseil mal préparé et peut-être même, pas préparé du tout.
Pas moins de 4 fois, à propos de documents non conformes voire illégaux pointés par nos élus, nous avons entendu le maire répondre : “Nous allons vérifier auprès de” ou “Nous allons vérifier s'il y a lieu de passer ce texte une seconde fois”  
Comment peut-on oser se présenter en réunion sans posséder ses dossiers ? A presque la moitié de son mandat ne serait-il pas temps que monsieur le maire fasse ses preuves ?


Panique à bord pour le maire et son adjointe
L'adjointe au maire, en charge du scolaire et de la petite enfance, a présenté (ou plutôt s'est contentée de lire) une délibération pour le vote de tarifs que la municipalité compte appliquer à la maison de la petite enfance en 2016. Problèmes : 1) La même délibération, présentée fin 2015, a été annulée sans être revotée et 2) il ne peut y avoir d'effet rétroactif en matière de facturation. Impossible donc d'appliquer les dits tarifs cette année.
Prise de panique par la pertinence de la remarque, l'adjointe cherche l'appui de son chef, qui ne connaît manifestement pas davantage le dossier. Triste spectacle ! 


A propos du renvoi de la Directrice Générale des Services

Le maire est contraint de reconnaître que la manière dont il a mis fin aux fonctions de sa Directrice est en marge de la légalité : publication de l'annonce de recherche de remplaçant avant la présentation au conseil municipal d'un document actant officiellement la décision. La charrue avant les bœufs.
Précisons que si la Directrice en question ne retrouve pas d'emploi dans une autre commune, la ville de Villecresnes devra assumer la charge de deux DGS. 


La police municipale autorisée à s'autogérer

Des agents qui décident eux-mêmes de fixer leur rémunération, cela n'existe dans aucune institution publique ou privée sérieuse......sauf à Villecresnes. Pas besoin d'ajouter d'autres commentaires. 




Les réponses du maire à nos questions orales portant sur la sécurité dans les écoles seront mises en ligne ici-même dans quelques jours.


lundi 17 octobre 2016

La réponse d'Annie-France VIDON à la tribune de la majorité

A sa demande, nous publions la réponse et les précisions apportées par Annie-France Vidon, conseillère municipale du notre groupe, à sa mise en cause dans la tribune de la majorité. 

*******

La tribune d’octobre du groupe “Bien Vivre à Villecresnes, publiée dans le magazine municipal a souhaité porter à la connaissance des Villecresnois le fait suivant :

A l’issue du dernier conseil municipal du 3 octobre, dans la salle du conseil, la femme du Maire a été violemment prise à partie par un conseiller municipal de l’opposition, en des termes injurieux tant pour le Maire que pour sa femme, termes que nous n’osons même pas reproduire ici.”

Je souhaite apporter un démenti formel à ces propos qui tentent de déformer la réalité. La seule manière pour moi de le faire est de restituer mot pour mot l’échange que j’ai eu avec l’épouse du maire, que par ailleurs je connais depuis très longtemps.

Agacée, comme tous mes collègues, par la désinvolture avec laquelle le maire avait répondu à nos questions orales, par ses accusations et ses mensonges à notre égard, j’ai eu un échange rapide avec madame Guille à la sortie du conseil. En voici les termes précis :

Moi : “ Si j’étais toi je ne serais pas fière d’avoir un mari comme ça”
Elle : ” Tu es folle” 
Moi : “ Pas du tout je ne suis pas folle et je répète si j’étais toi je ne serais pas fière d’avoir un mari comme ça”
Je poursuis mon chemin vers le parking de la mairie, madame Guille me suit et me lance
Elle : “ Et bien moi, je ne suis pas fière de t’avoir comme voisine ”
Moi : “ J’habitais là avant toi il ne fallait pas venir habiter Villecresnes. Il fallait rester où vous étiez” 

C’est tout.

Nous avons également des témoins qui pourront attester de l’exactitude de ce que j’affirme ici.
Je laisse chacun juger du degré de violence et du niveau d’injure contenus dans les termes employés.

Le maire demande ma démission, mais pourquoi ne s’applique-t-il pas à lui-même ce principe puisqu’il est mis en examen pour diffamation publique envers particuliers (dont je fais partie). C’est autrement sérieux ! Je doute que même si son épouse déposait plainte contre moi la justice me réserve un sort identique.

Le maire demande ma démission, mais pourquoi n’a-t-il pas appliqué le même principe à Madame MONTEMBAULT lorsqu’en pleine séance du conseil municipal elle avait traité, publiquement et de manière très agressive, notre regrettée collègue Sylvie ZANOUNE de “saloperie”. N’était-ce pas violent et injurieux ? Il n’a rien dit à l’époque.

Curieusement cette tribune intervient quelques jours seulement après la parution, dans le journal Le Parisien, de l’information concernant la mise en examen du maire pour “diffamation envers particuliers par parole, écrit, image ou moyen de communication au public par voie électronique”

M. Guille a-t-il souhaité allumer un contre-feu ? S’est-il inspiré de la défense lamentable de Mr Trump ?

Annie-France VIDON, conseillère municipale


jeudi 13 octobre 2016

MENSONGE


Voici un texte envoyé par au maire pour publication sur le site officiel de la ville. 
(Rubrique libre expression)

Lors du dernier conseil municipal, à l’occasion de ses réponses aux questions orales de notre groupe, le maire nous a, une nouvelle fois, accusés de proférer des “accusations mensongères”. C’est cocasse de la part d’un homme qui vient d’être mis en examen pour diffamation envers particuliers.

Nous avons décidé de rappeler quelques vérités à propos du mensonge.

“Un récit est dit vrai quand le fait raconté est réellement arrivé et faux quand le fait raconté n’est arrivé nulle part”. Spinoza.
Le mensonge est donc clairement défini ; il ne laisse pas place à l’interprétation ou à l’approximation. Il y a mensonge lorsque le fait proclamé, n’est absolument pas survenu. Il s’agit de duplicité délibérée.

Le souci de la vérité, comme la pratique du mensonge, dévoilent plus que tout autre comportement, la personnalité de ceux qui en usent.
Attribuer publiquement aux autres des turpitudes inventées, c’est mentir à tous.
Les mensonges qui introduisent et banalisent défiance et suspicion dans les relations entre les citoyens, et vis à vis de leurs représentants, sont dévastateurs pour le corps social.

Le mensonge, la manipulation, la diffamation sont les armes des faibles. Ils leur tiennent lieu de principe d’action, de méthode de gouvernance et de mode de rapport à autrui.
Mentir, c’est refuser de faire face au réel, qui impose de la rigueur et en conséquence, déclarer que les problèmes viennent toujours des autres.

La vérité est une discipline de vie, le mensonge est une dérive. 

dimanche 9 octobre 2016

Il serait temps d'agir face aux décharges sauvages

Régulièrement, nous subissons l’indélicatesse de certaines entreprises peu scrupuleuses qui déversent leurs déchets en pleine nature, souvent à proximité de nos habitations. Nous bénéficions d’un environnement privilégié, proche de vastes espaces verts et boisés. Certains y flânent en famille, d’autres vont ramasser châtaignes ou champignons ou y faire leur footing, et chacun souhaiterait pouvoir profiter pleinement de ce cadre de vie bien agréable sans croiser des tas d’immondices comme c’est le cas actuellement.

Une décharge sauvage est installée depuis plus de 3 mois au bout de la rue des Plantes, en entrée de forêt, des déchets sont peu à peu recouverts par la végétation qui finit par reprendre ses droits, à différents endroits. Mais les sols sont souillés et pour éviter que d’autres ne viennent élargir ces tas d’ordures et de gravats, il est nécessaire que la ville soit réactive et les ramasse. 




Nous vous alertons Monsieur le Maire sur les risques d’une attitude aussi désinvolte face à ces actes d’incivisme répétés. Les lieux sont bien identifiés et l’inertie ostentatoire de la ville est presque un encouragement à l’irrespect de notre si jolie commune.


Nous ne voulons pas d’une ville dépotoir et vous demandons d’agir rapidement, pour le bien être de vos concitoyens. 


jeudi 6 octobre 2016

Gérard GUILLE, maire de Villecresnes, mis en examen

Le 15 septembre 2015, plusieurs élus de la précédente équipe municipale, dont l'ancien maire, ont déposé une plainte en diffamation calomnieuse contre Monsieur Gérard GUILLE, suite aux propos tenus publiquement lors du conseil municipal du 30 juin dernier, au cours duquel il avait violemment accusé les membres de l'ancienne majorité d'avoir emmené l'ensemble des dossiers en cours, à l'issue de leur mandat. (Cliquer sur ce lien pour revoir la vidéo)

Les personnes mises en cause avaient considéré que cette accusation, gravissime dans son contenu et sans fondement, portait gravement atteinte à leur image publique et à leur honneur.

Le Parisien daté de ce jour nous informe qu’à la suite de l’enquête menée par les services de Police, le juge d’instruction a décidé la mise en examen de Monsieur GUILLE, pour diffamation envers particuliers par parole, écrit, image ou moyen de communication au public par voie électronique.


Le dossier a été transmis au parquet.

Cliquer pour lire l'article