Dans un article publié ce jour, Le Parisien édition du Val-de-Marne, évoque le feu vert donné, par les services archéologiques, à la constructibilité de la friche industrielle du Bois d'Auteuil. Dans ce même article il est rappelé que l'ancienne équipe municipale était porteuse d'un projet global pour ce site, et que le sujet avait alimenté le débat, pour ne pas dire la polémique, lors de la campagne électorale.
Le nouveau maire, alors candidat, avait, en effet, promis de s'opposer au BETONNAGE et à l'augmentation de population. (Voir photo).
Comme le souligne Le Parisien, le nouveau maire doit maintenant reprendre le dossier en main. Voilà donc GG au pied du mur. Il va devoir agir et le temps ne travaille pas pour lui.
Mis à part quelques dispositions cosmétiques, qu'est-ce qui pourra différencier le “bétonnage” qu'aurait engendré, selon lui, le projet de Villecresnes Ambition et celui que, devenu maire, il va devoir réaliser ? La réponse nous intéresse !
Nous avions prévu 386 logements. En fera t-il moins ? Impossible lorsqu'on connait les termes de l'équilibre financier d'un tel projet.
Alors va t-il racheter à l'EPF, pour 8 millions €, une friche industrielle dont il ne pourra rien faire.
Si, pendant la campagne “il n'y avait qu'à dire” pour inquiéter les Villecresnois, désormais “il n'y a plus qu'à faire”
Le nouveau maire, alors candidat, avait, en effet, promis de s'opposer au BETONNAGE et à l'augmentation de population. (Voir photo).
Comme le souligne Le Parisien, le nouveau maire doit maintenant reprendre le dossier en main. Voilà donc GG au pied du mur. Il va devoir agir et le temps ne travaille pas pour lui.
Mis à part quelques dispositions cosmétiques, qu'est-ce qui pourra différencier le “bétonnage” qu'aurait engendré, selon lui, le projet de Villecresnes Ambition et celui que, devenu maire, il va devoir réaliser ? La réponse nous intéresse !
Nous avions prévu 386 logements. En fera t-il moins ? Impossible lorsqu'on connait les termes de l'équilibre financier d'un tel projet.
Alors va t-il racheter à l'EPF, pour 8 millions €, une friche industrielle dont il ne pourra rien faire.
Si, pendant la campagne “il n'y avait qu'à dire” pour inquiéter les Villecresnois, désormais “il n'y a plus qu'à faire”