Nous sommes allés, comme beaucoup, visiter le Salon des Métiers d’Art qui se tenait à Marolles les 7 et 8 octobre. Nous tenons avant tout à féliciter ses organisateurs pour la qualité de leur travail.
Au fil de nos échanges nous avons appris que cette manifestation se tiendrait désormais chaque année à Marolles alors que traditionnellement elle tournait dans les villes du Plateau Briard.
Cette décision est à nos yeux une profonde erreur car le changement de lieu et d’équipe organisatrice permettait de renouveler le public, les artisans et les produits présentés. C’est ce changement qui assurait le développement de la notoriété et de la fréquentation de ce salon.
Cette décision est à nos yeux une profonde erreur car le changement de lieu et d’équipe organisatrice permettait de renouveler le public, les artisans et les produits présentés. C’est ce changement qui assurait le développement de la notoriété et de la fréquentation de ce salon.
Cette décision met également en lumière le vide abyssal d'actions menées par les élus de Villecresnes en termes d’animation de la ville.
- Annulation du salon Arts, Artisanat, et gastronomie
- Renoncement au Salon des Métiers d’Art
- Suppression de la fête de Villecresnes
- Abandon de l’organisation du vide-greniers
- Manifestations culturelles (hors les partenariats externes) réduites à la portion congrue.
- Un marche qui dépérit.
Ces choix sont incohérents avec le développement de la population et nos élus transforment Villecresnes à leur image : une ville dortoir.
- Annulation du salon Arts, Artisanat, et gastronomie
- Renoncement au Salon des Métiers d’Art
- Suppression de la fête de Villecresnes
- Abandon de l’organisation du vide-greniers
- Manifestations culturelles (hors les partenariats externes) réduites à la portion congrue.
- Un marche qui dépérit.
Ces choix sont incohérents avec le développement de la population et nos élus transforment Villecresnes à leur image : une ville dortoir.
Est-ce vraiment ce à quoi aspirent les Villecresnois, qu’ils soient anciens, nouveaux ou futurs ? Est-ce vraiment ce qu'attendent les acteurs économiques de notre cité ?