Le 2 décembre 2016, le maire de Villecresnes avait déjà reçu
le bonnet d’âne de la démocratie locale. Ses publications dans la presse
municipale pourraient bien lui valoir d’en recevoir prochainement un second
pour sa pratique du mépris et du manque de respect.
Voici deux exemples tirés du dernier magazine municipal :
Le maire consacre une page du dernier magazine à un article appelant à sauver l'école d'Espoir Autisme. Cet article n'a été écrit que parce que nous l’avons
accusé de lâcher l'école et ses enfants.
Nous persistons et nous signons. Ses courriers ne sont rien d’autre que des prétextes à fuir ses
propres responsabilités et il ose présenter l’installation d’une “urne” en
mairie comme sa contribution au sauvetage de l’école. Cela ne répond en rien au
problème qui est posé et s’il voulait vraiment sauver cette école pour enfants
autistes il lui suffirait de ne pas réduire la subvention municipale accordée
unanimement par le conseil municipal en 2017. Cette subvention a pour objet de se
donner du temps afin d’obtenir des garanties de pérennité de la part des
pouvoirs publics. C’est donc bien le refus du maire et le silence honteux de
ses colistiers qui risquent de condamner l’école à court terme.
C’est dramatique pour les familles concernées.
Autre aperçu de son
aplomb et du dédain dont il fait preuve à l’égard des lecteurs du magazine.
Dans sa tribune il accuse l'opposition de pratiquer les fake news. Qui peut
le croire ? Car là encore nous maintenons les faits. En revanche nous faisons
observer que l’homme qui accuse les élus de Villecresnes Avenir de manipuler
leurs concitoyens par de fausses informations est un maire mis en examen pour
diffamation qui risque un renvoi prochain devant le tribunal correctionnel.
C’est aussi le maire du Val-de-Marne le plus condamné par la justice pour ses
nombreux manquements au respect de la loi.
Là c’est donc franchement comique !
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