Il y a un peu plus d'un an nous nous faisions l'écho de graves irrégularités dans l'autorisation accordée par messieurs Guille et Lochon à l'opérateur FREE pour la construction d'un nouveau mât téléphonique, au plus proche d'une zone habitée et sans la moindre concertation. Vous pourrez relire les faits en cliquant sur le lien ci-dessous
Le 24 mars Le Parisien relayait à son tour le problème rencontré par les habitants de ce quartier de Villecresnes.
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Au cours des rencontres entre le maire, son adjoint et les riverains, plusieurs affirmations ont été faites, des engagements ont été pris et confirmés dans la presse ainsi que dans le magazine municipal.
- Le 12 juillet 2016, le maire et son adjoint Lochon s'étaient engagés à organiser une réunion avec FREE afin de vérifier s'il était possible de faire supporter de nouveaux équipements techniques au mât existant ce qui aurait permis d'éviter la construction du second pylône Cette promesse est restée lettre morte, mais entre temps du matériel supplémentaire a été ajouté sur le premier pylône en faisant croire aux riverains qu'il s'agissait d'une opération de maintenance. Tout ceci sans information, sans autorisation, sans contrôle des puissances, etc, C'est donc la double peine pour les riverains.
- Le maire et son adjoint Lochon s'étaient également engagés à “corriger le tir et négocier avec FREE pour demander un habillage du pylône afin de maquiller sa présence dans les cieux villecresnois. Apres un silence assourdissant d'un an et des relances des riverains ce qui est proposé aujourd'hui consiste à peindre le mât et à consulter les riverains sur la couleur de la peinture.
La colère des riverains ne faiblit pas: “Nous sommes dans une inacceptable indigence. Rien n'a bougé. Pire en terme d'habillage, le maire nous propose un nuancier de peinture pour tenter de dissimuler ce mastodonte de 34 mètres de hauteur dont l'ombre projetée génère des masques solaires chez tous les riverains. Nous sommes toujours en attente de jugement auprès du tribunal administratif dont nous attendons la remise en cause de cette décision.”